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Deuxième partie du texte de Jean Pelseneer
1. Liste des noms des 121 savants repris dans les notices :
Abréviations utilisées :
A = Annuaire de l’Académie royale de Belgique. Le sigle est suivi de la date de publication.
B = Biographie nationale publiée par l’Académie royale de Belgique, et le numéro du volume.
F = Lauréat du prix Francqui avec l’année d’attribution.
N = Lauréat du Prix Nobel avec l’année de d’attribution.
Les noms soulignés correspondent aux notices sélectionnées.
Z. -M. Bacq (F1948) ; L. H. Baekeland (1863- 1944) ; M. A. Biot ; J. Bordet (1870- 1961). N1919) ; K. J. Bossart ; R. Bouillenne ; G. -A. Boulenger (1858- 1937) ; J. Boulvain dit Boulvin (1855- 1920, A1949, B29) ; A. Brachet (1969- 1930, A1933, B30) ; J. Brachet (F1948) ; F. Bremer ; P. Brien ; P. Bruylants (1885- 1950 ; A1964) ; F. Bureau (F1952) ; H. Buttgenbach (1874- 1964) ; L. Cahen ; G. Cesàro (1849- 1939, A1942, B30) ; H. Chantrenne (F1963) ; G. Chavanne (1875- 1941, A1962, B31) ; A. Claude ; J. Cornet (1865- 1929, A1954, B31) ; R. Coutrez ; J. Cox ; L. Crismer (1858- 1944, A 1953, B31) ; A. Dalcq ; T. De Donder (1872- 1957) ; H. de Dorlodot (1855- 1929, A 1963) ; C. de Duve (F1960) ; A. de Gerlache de Gomery (1866- 1934) ; M. Dehalu (1873- 1960) ; M. de Hemptinne (F1948) ; W. De Keyser ; C. -J. de La Vallée-Poussin (1866- 1962) ; A. Demoulin (1869- 1947, A1952, B30) ; A. Depage (1862- 1925) ; J. Deruyts (1862- 1945, A1949, B30) ; E. De Wildeman (1866- 1947, A1951) ; H. de Winiwarter (1875- 1949, A1952) ; L. Dollo (1857- 1931, A1951) ; L. D’Or ; M. Dubuisson ; J. Duchesne ; A. Dustin (1884- 1942) ; J. Errera (F1938) ; M. Florkin (F1946) ; P. Fourmarier ; L. Fredericq (1851- 1935, A 1937) ; J. Geheniau ; J. Gillis ; P. Glansdorff ; L. Godeaux ; L. Hauman ; P. Heger (1847- 1925) ; V. Henri (1872- 1940) ; E. Henriot (1885- 1961, A 1964) ; C. Heymans (N1939) ; M. Homes ; J. Jaumotte (1887- 1940, A1941) ; R. Jeener (F1954) ; C. -J. Jungers ; F. Kaisin (1879- 1948, A1960, B32) ; H. Koch (F1951) ; C. Lagrange (1852-1932) ; A. Lameere (1864- 1942, A1954, B31) ; M. Lecat (1884- 1951) ; G. Lecointe (1869- 1929, A1953, B31) ; P. Ledoux (F1964) ; G. Lemaître (F1934) ; T. Lepage ; C. le Paige (1852- 1929, A1939, B30) ; M. Leriche (1875- 1948, B32) ; M. Lohest (1857-1926, A 1953) ; C. Manneback ; P. Mansion (1844- 1919, A 1929, B30) ; P. Martens ; R. Martin ; L. Marton ; J. Massart (1865- 1925, A1927) ; L. Massart (F1957) ; M. Migeotte ; W. Mund (1892- 1956) ; J. Neuberg (1840- 1926, A1932, B30) ; M. Nicolet ; J. A. Nieuwland (1878- 1936) ; P. Nolf (1873- 1953, F1940, A1955) ; G. Occhialini ; J. Pacotte (1887- 1956) ; J. Pasteels ; P. Pelseneer (1863- 1945, A1951) ; A. Piccard (1884- 1962) ; E. Piccioto ; A. Pinkus (1891- 1945) ; I. Prigogine (F1955) ; A. Renier (1876- 1951, A1956) ; P. Rijlant ; A. Rome ; L. Rosenfeld (F1949) ; C. Servais (1862- 1935, A1950, B30) ; F. Simonart ; E. Solvay (1838- 1922) ; P. Stroobant (1868- 1936, A1949, B31) ; M. Stuyvaert (1866- 1932, A1937, B30) ; F. Swarts (1866- 1940, A1963) ; P. Swings (F1948) ; J. Thoreau ; J. Timmermans ; J. Tits ; G. Van Biesbroeck ; F. van den Dungen (F1946) ; H. Vanderlinden ; O. Van der Stricht (1862- 1925, A1935, B31) ; L. Van Hove (F1958) ; A. Van Itterbeek ; J. Van Mieghem ; V. Van Straelen (1889- 1964) ; A. Van Tiggelen (F1961) ; P. Ver Eecke (1867- 1959) ; J. Verhoogen ; L. Verlaine (1889- 1939) ; J. Verschaffelt (1870- 1955, A1957) ; H. Wuyts.
[1] Elkhadem ; Jean Pelseneer ; technologia, Vol. 8, n°2, pp. 46-50,1985.
[2] On lui doit la découverte de l’élément francium.
[3] Vol. 4, p. 425 ; P.U.F. 1964
[4] . Coll. Marabout Université ; p. 83, 1972.
[5] J. Pelseneer : « La psychologie du savant de génie » (Janus, LI, 1, 1964 ; pp. 62-64).
[6] Histoire des sciences et des savants depuis deux siècles, Genève, 1873 ; 2e édition, 1885.
[7] On lui doit la découverte de l’élément francium.
[8] J. Pelseneer : « van Velden » (Biographie nationale publiée par l’Académie royale de Belgique, t. 26, 1936-1938, col. 562-567).
[9] De même, son cadet de cinq ans, l’illustre historien des religions Franz Cumont (1868-1947) sera amené à faire une carrière prestigieuse à l’étranger. Il n’est pas hors de propos de rappeler que Maeterlinck figure à l’Index-opera omnia-depuis 1914.
[10] Des travaux d’histoire de l’astronomie, datant de la fin du 19e siècle, ont montré que l’étoile de Bethléem était en réalité, soit une conjonction de planètes, soit une supernova.
[11] A l’occasion de la grève des médecins (avril 1964), il a été constaté que le nombre de médecins en Belgique n’était pas connu même de façon approximative.
[12] Les Feuilles d’Automne ; XL.
On se peut s’empêcher de constater ici que les deux Résistances nées spontanément au cours des deux occupations de 1914-1918 et 1940-1944, sont dépourvues de tout caractère intellectuel. Ces deux mouvements, riches souvent de sacrifices sublimes, furent parfois animés par des intellectuels ou des universitaires en vue. Mais, typiquement, ce qui manqua à ces deux Résistances, c’est un visage intellectuel.
[13] La population belge ne représente que 0,3% de la population du monde, mais elle assume 3,5% du commerce mondial.
[14] L’IRSIA a consacré aux seules recherches agronomiques 132 millions en 1963 ; 54 centres de recherches agronomiques étaient subsidiés, avec un personnel s’élevant à environ 600 personnes dont 170 diplômés de l’enseignement supérieur.
[15] La totalité des crédits pour l’exercice 1963 accordés par l’Etat pour la recherche scientifique s’élevait à 4.539 millions. En outre, le financement de la recherche appliquée est assuré par l’industrie elle-même, qui y consacre plus de 2 milliards.
[16] En 1962, les Etats-Unis ont consacré à la recherche 3% du produit national brut, la Grande-Bretagne 2,5%, et la France 1,5% : nouvel exemple de la supériorité scientifique des nations protestantes.
[17] L’effectif du corps enseignant de l’université libre de Bruxelles a doublé au cours des 5 dernières années.
[18] Quelle est, après plus de 4 siècles, l’utilité du système de Copernic (1543) ou, après un demi-siècle, celle de la relativité générale ?
[19] L’accueil si généreux réservé aux étudiants de l’Université libre de Bruxelles après la suspension des cours en 1941, par les autres établissements d’enseignement supérieur et tout particulièrement par l’Université catholique de Louvain, atteste la solidarité du monde intellectuel belge ; l’occupant a contribué à cimenter l’union de nos universités.
[20] En 1963, aux yeux du Conseil National de la Politique Scientifique, les orientations privilégiées concernaient les quatre domaines suivants : biologie moléculaire, recherche spatiale, génétique humaine et enzymologie médicale.
[21] Voir J. Pelseneer : « En marge de l’affaire Chasles » (Le Flambeau, 38e ann., 1955, N° 3, pp. 315- 318).
[22] H. Van Werveke, De Zwarte Dood in de zuidelijke Nederlanden (1349-1351), Med. KVAWLSK, KI. der Letteren. jg. XII. N°3, 1950, p.4.
[23] The plague reconsidered. A new look at its origins and effects in the 16th. and 17th. Century England, Local Population Studies, Stafford 1977 p. 6- 7. Met hartelijke dank aan collega L. Danhieux die ons zijn exemplaar van deze studie ter beschikking stelde en met wie wij, tot ons profijt, deze bijdrage bespraken. Onze dank gaat oak naar collega H. Coppens die ons de inzage van de oorspronkelijke tekst vergemakkelijkte.
[24]
N. Greslou, La peste en Savoie (aux XVIe et XVIIe siècles) Chambéry, 1973, (Mémoires et Documents publiés par la Société d’Histoire et d’Archéologie, tome LXXXV) p. 20 : « Nous pouvons parler comme de celle de 1630 d’une peste « européennne ». Le fléau en effet, entre les années 1628 et 1632, ravagea pratiquement la plus grande partie de l’Europe, cette épidémie restant liée à la guerre de Trente-Ans ».
[25] C. Bruneel, La mortalité dans les campagnes : le duché de Brabant aux XVIIe et XVIIIe siècles. Louvain, 1977 - (Université de Louvain. Recueil de travaux d’histoire et de philologie 6e série, fascicule 10 et fasc. 10*, p. 207- 317.
[26] Idem, ibidem, p. 488-497.