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MISCELLANEA
Musées royaux d’art et d’histoire
La carrosserie belge aux XVIIIème et XIXème siècles
Le Musée de Folklore de Bruxelles prépare actuellement la publication d’un important mémoire sur la carrosserie belge aux XVIIIème et XIXème siècles. MM. W. Knops et W. Lassance, chargés de ce travail, seraient particulièrement heureux de prendre connaissance de toute espèce de documentation relative à ce sujet, et plus généralement concernant les problèmes de transport à cette époque dans nos régions.
Musées royaux d’art et d’histoire,
Parc du Cinquantenaire, 10
1040 Bruxelles.
Tél. (02) 733 96 10.
Mededeling van de VVIA
Van 11 tot en met 18 juli 1981 : unieke studiereis naar Zuid-Engeland, in samenwerking met de Southampton University. Ter gelegenheid van het VVIA-bezoek zullen o.m. een aantal vroeg-19de eeuwse stoommachines
terug draaien, bezoek voorzien aan collecties en sites die in normale omstandigheden strikt voor het publiek gesloten zijn, enz ...
31 oktober en 1 november 1981 : studiereis naar Noord-Frankrijk, met o.m. bezoek aan de Familistère van Godin te Guise, het mijnmuseum te Leeuwarde, de scheepsliften te Arques, Rijsel, Roubaix, enz ...
Voor alle nadere inlichtingen en gedetailleerde programma’s, kan men zich wenden tot de Vlaamse Vereniging voor Industriële Archeologie, Postbus 30, Postkantoor Maria Hendrikaplein, 9000 Gent-12.
Jean-Baptiste VIFQUAIN (1789-1854)
Ingénieur, architecte et urbaniste.
André LEDERER
Ingénieur civil AILv
Professeur à l’Université Catholique de Louvain
Vice-Président de l’Académie de Marine
Samenvatting
Jean-Baptiste Vifquain,
ingenieur, architekt en urbanist
Vifquain is ongetwijfeld één van de meest bekwame Belgische ingenieurs uit de eerste helft van de XIXe eeuw.
Hij mag aanzien worden als de vader van de Brusselse « Kleine Ring », de bouwer van de eerste Belgische metalen hangbrug (1824) en het kanaal van Charleroi naar Antwerpen, en auteur
van het in 1842 verschenen groots opgevat werk « Des voies navigables en Belgique ».
Abstract
Jean-Baptiste Vifquain,
engineer, architect and urbanist
Vifquain is one of the most famous Belgian engineers from the first part of the XIXth century. Among his works : the « inner circular road » round Brussels, the first iron-made suspension bridge in
Belgium (1824), the Charleroi canal to Antwerp, a masterpiece : « Des voies navigables en Belgique », published in 1842.
[1] prodrome d’une notice qui paraîtra dans la Biographie nationale de Belgique (NDLR).
[2] Lire, sur la question de l’urgence de publier, l’article de Gaston (1972) dans La Recherche.
[3] Les techniques sont des modes d’appropriation du monde : le ciel est à qui sait voler (de Beauvoir, 1944.)
[4] Les questions de vocabulaire se compliquent encore (à moins qu’elles ne s’éclaircissent) quand on prend en considération les usages anglo-saxons. Il est indéniable que l’usage actuel, en français,
du mot technologie vient partiellement d’une contamination par l’anglais (Saint-Sernin, 1976).
[5] C’est la définition de l’homme que l’on trouve chez Jean Rostand (1954), qui précise : petit-fils de poisson, arrière-neveu de limace, bête saugrenue qui devait inventer le calcul intégral et rêver de justice.
[6] L’expression se trouve chez Bachelard, et s’adresse plutôt à la science. C’est que le mot appliqué n’est pas, dans l’épistémologie de l’Ecole française, utilisé dans sa pleine acception.
[7] Désirs. Ce mot, qu’il est impossible de ne pas rapprocher du mot péché, nous éclaire sur la suspicion ou le mépris qui s’attachent à la technique dans certaines cultures. Voir Tovmassian, 1976,
qui analyse l’attitude « idéaliste-bourgeoise » face au travail, sans aller à l’essentiel, étant prisonnier d’un système de pensée qui n’incite guère à la réflexion personnelle ; voir aussi Auzias, 1964, plus
subtil.
[8] Et autres spécialistes de formation à dominante juridique et littéraire : sociologues, économistes.
[9] Quand il existe. Il n’y en a pas, nous l’avons déjà dit, du moins de jure (c’est-à-dire avec grade et diplôme) en Belgique. D’autres pays, où le nombre d’établissements de niveau
universitaire par km² est moins élevé que chez nous, en produisent d’excellents. L’hybridation est délicate. Je ne sais plus qui disait que la médiocrité de la science des philosophes n’a
d’égale que l’inanité de la philosophie des savants. Un autre disait que l’historien des techniques parle d’histoire avec les techniciens et de technologie avec les historiens, ce qui est fort
confortable.
[10] Il faudrait étudier l’association d’idées « technologie-machine », qui révèle une conception singulièrement rétrécie (et erronée) de la technologie.
[11] Il faut aussi prendre en considération les territoires : archéologie américaine pré-colombienne, extrême-orientale, etc. Cela a son importance pour l’archéologie industrielle : est-ce uniquement de l’Occident qu’il s’agit ?
[12] Pour la position épistémologique de l’archéologie industrielle et de l’archéologie contemporaine, nous nous permettons de renvoyer à notre article : Baudet, 1979.
[13] Pendant plus de 11 ans, j’ai exercé la fonction de dessinateur d’études à ladite société ; j’y étais également délégué syndical et membre de la commission de sécurité et d’hygiène.
[14] Cet historique complètera les travaux déjà publiés sur les laminoirs de la région :
Hansotte, 1955 ; Hansotte et Hennau, 1979.
[15] Hier moet onderstreept worden, dat Prof. ir. Quintyn de uitgever is van het tijdschrift Sartonia, gewijd aan de geschiedenis van de wetenschap en techniek. Sartonia en Technologia zijn de enige Belgische tijdschriften die zich met deze discipline inlaten.