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MISCELLANEA
The Clockwork Universe
German Clocks and Automata (1550-1650)
National Museum of History and Technology, Smithsonian Institution, Washington, D.C., U.S.A.
Exhibition hours :
Daily 10.00 am to 5.30 pm, 1980.11.07 - 1981.02.15.
Troisième colloque national
d’archéologie industrielle
Perpignan, semaine du 13 au 18 avril 1981
Dans le cadre du 106ème Congrès des Sociétés Savantes, le CILAC (Comité d’Information et de Liaison pour l’Archéologie Industrielle) organise un colloque qui se tiendra à Perpignan au cours de la semaine du 13 au 18 avril 1981.
Les responsables scientifiques du colloque sont MM. L. BERGERON, Directeur d’Etudes EHESS, vice-président du CILAC, et J. PAYEN, membre de la Commission d’histoire des sciences et des techniques du CTHS. S’adresser à eux pour toutes demandes de renseignements concernant le programme (tél. 544-39-79, p. 351 : L. Bergeron ; 271-24-14, p. 801 : J. Payen).
A titre indicatif, les articulations retenues jusqu’à présent sont les suivantes :
Thème I : recherche en archéologie industrielle.
Thème II : sauvegarde et rénovation.
Thème III : contenu scientifique et objectifs de l’archéologie industrielle.
[1] Ce travail fut entrepris dans le cadre d’un mémoire de licence présenté à l’Université Libre de Bruxelles en 1979.
[2] Essentiellement, les archives du conseil des Finances, les dossiers des douanes (A.G.R.), les archives de la Ville de Bruxelles et quelques dossiers des Archives Nationales à Paris.
[3] Nous excluons de notre propos les verreries forestières de Forges-lez-Chimay et de St-Hubert, qui tant par leurs productions que par leurs méthodes de travail appartiennent encore au XVIIème siècle.
[4] AGR CF 5346 fol 251.
La corde de bois la plus usitée à l’époque dans la région peut être estimée à quelque 2.2 m3.
[5] AEN, fonds Douxchamps, livre de compte de la verrerie Zoude.
[6] AGR CF.
[7] Les tiseurs étaient les ouvriers préposés à la surveillance et à l’entretien des feux.
[8] AEN conseil provincial n° 315.
[9] AVB registre n° 2283.
Ce prix inclut tous les frais : port, livraison ...
[10] AN. Paris F 14 4250.
[11] AGR CF 5348 fol 185.
[12] Le problème de l’évacuation des eaux était naturellement crucial pour tous les travaux de sous-sol.
[13] Il s’agissait d’une pompe à feu, de type Newcomen, installée dans les veines
de Fayat après 1725.
[14] AEN : Conseil provincial no 315 cité par Hasquin, 1971.
[15] AVB registre no 2283.
[16] Le charbon était même parfois utilisé pour sécher le bois.
AGR CF 5346 fol 251.
[17] AN. Paris F 14 4252.
[18] AGR CF 5348 fol 209.
[19] AGR CF 5348 fol 318.
[20] Les tiseurs avaient coutume de regrouper ces 2 espèces sous le terme de « foyard » pour les distinguer des autres bois qui possédaient un pouvoir calorifique moins élevé.
[21] Signalons que lorsque la possibilité existait, les manufacturiers réalisaient d’importantes économies de transport grâce au flottage du bois.
AGR CF 5346 fol 101.
[22] Terme de verrerie signifiant que le four manque d’aliments.
[23] Se dit d’un four qui s’engorge.
[24] La glaie était l’ouverture pratiquée dans la paroi du four qui permettait de l’alimenter.
[25] Certains documents précisent qu’un chariot de houille contient de 11 à
12.000 livres (soit environ 1.800.000 livres par an).
[26] AGR CF 5349 fol 5.
[27] AGR CF 5352 fol 285.
[28] AVB registre n° 2253.
[29] AGR CF 5351 fol 47 et 67.
[30] AGR CF 5346 fol 253.
[31] Les cordes de bois sont des mesures variables selon les régions.
En moyenne, nous pouvons estimer qu’une corde de France équivaut à peu près à 1 m3.
[32] AGR CF 5345 fol 17.
[33] « Lombois » à Gilly, ainsi que des parts dans les veines du « Petit Roland », « Masse », « Droit Jet », et « Favat » à Lodelinsart (Hasquin, 1971).